Actuel / Un peuple rejeté par tous?
Des Palestiniens explorent les décombres de la tour Aklouk après un bombardement de l'armée israélienne à Gaza, octobre 2023. © Palestinian News & Information Agency (Wafa) in contract with APAimages - CC BY-SA 3.0
La guerre continue à Gaza, sans même une trêve, repoussée aux pires calendes. La colonisation s’intensifie en Cisjordanie. Qu’adviendra-t-il de la Palestine? La tempête des émotions est légitime. Les beaux discours sans effets foisonnent. Mais dans l’ombre plusieurs puissances manœuvrent, élaborent des plans pour l’après-Gaza. Des négociations secrètes se nouent. Tour d’horizon.
Rien ne paraît pouvoir arrêter l’offensive israélienne sur la bande de Gaza, en dépit de la tragédie innommable qu’elle provoque. Même Biden n’y parvient pas. Ses avions livrent à Tsahal, jour après jour, munitions et bombes qui maintiennent le feu, et d’autres larguent des aliments sur la population affamée. Aberration historique. Mais tout indique que tôt ou tard, après des mois de conflit violent, les combattants du Hamas seront vaincus, même si son idéologie, ses antennes politiques survivront. Israël est déterminé à contrôler dans l’avenir ce champ de ruines. Alors que faire des Palestiniens devenus indésirables chez eux? Sans le dire trop haut, plusieurs puissances, les Etats-Unis, la plupart des Etats du Golfe, d’entente avec les Israéliens, font pression sur l’Egypte pour qu’elle accepte la construction d’un immense camp dans le Sinaï pour accueillir les déplacés. Son emplacement est déjà balisé. Il est prévu l’accueil de 500’000 personnes… dans un premier temps. Une pluie de milliards lui est promise. Pour que ce refuge promis à durer soit décent, avec constructions en dur, écoles, hôpitaux… et aussi pour convaincre Abdel Fatah El-Sissi, un président déchiré entre son refus viscéral de voir cet afflux palestinien et le souci de ne pas fâcher ses alliés dont il a un besoin absolu pour faire face au gouffre astronomique des finances publiques. Ce projet de nouvel exil pour les Gazaouis verra-t-il le jour? Cela dépendra du calendrier de l’offensive, de ce qui se passera au niveau du pouvoir à Jérusalem et à Washington. Quant aux pays arabes, malgré leurs discours de solidarité, ils feront tout pour éviter que ces Palestiniens, politisés, pour une part «Frères musulmans» honnis dans la région, pas tous sunnites, souvent bien formés et turbulents, ne débarquent pas chez eux.
Et qu’adviendra-t-il des habitants de Cisjordanie? La colonisation juive s’accélère avec son chapelet de violences. Le gouvernement israélien vient d’annoncer 3'500 logements nouveaux pour les colons dans la zone. Et 18’000 autorisations de construire ont été accordées par les ministres ultra-nationalistes, principalement à Maale Adoumim, à côté de Jérusalem. Dans la partie est de la ville les expulsions de non-Juifs, à coups de tracas administratifs ou d’actes violents, se multiplient. Où iront les Palestiniens pourchassés? Nul ne le sait. Personne n’a le moindre plan crédible, une fois tournée la page de la solution à deux Etats que tant de gouvernements brandissent… sans y croire, au vu de l’interpénétration des communautés antagonistes. En attendant un pays tremble particulièrement, la Jordanie. Pourra-t-elle garder longtemps sa frontière fermée à ces si proches voisins en quête d’issue?
L’avenir se joue aussi du côté de l’Iran. Un fait étonnant est en train d’émerger loin des titres d’actualité. Cette puissance est en train de s’entendre secrètement avec sa grande rivale américaine. Un signe a été donné en septembre passé. Washington a rendu 4 milliards de dollars appartenant aux Iraniens et bloqués dans une banque sud-coréenne au nom des sanctions. En échange de la libération de cinq prisonniers américains retenus à Téhéran. En novembre passé, le quotidien koweitien Al Jarida révélait qu’une «réunion secrète a eu lieu à Genève pour chercher les moyens d’éviter un glissement vers une guerre totale» au Moyen-Orient. Selon plusieurs sources libanaises, des contacts ont été noués aussi à Beyrouth où les diplomates américains parlent au Hezbollah, l’antenne iranienne, qui d’ailleurs veille à ne pas se montrer trop agressif contre Israël. Des coups d’épingles mais rien qui donnerait prétexte à un nouvel envahissement du petit pays aux Cèdres, à un élargissement de la guerre qui ne conviendrait guère à Joe Biden et pas davantage, semble-t-il, aux mollahs de Téhéran. Ceux-ci pour leur part entretiennent la tension notamment à travers leur appui aux Houthis du Yémen mais là aussi veillant à ne pas aller trop loin.
Ce dialogue contre-nature a également lieu en Irak, où les Américains restent présents, en contact avec les chiites, d’ailleurs pas tous liés à l’Iran, cela sur un fond politique fort compliqué et inflammable.
Que l’embrasement général de tout le Moyen-Orient paraisse ainsi évité pour le moment est plutôt rassurant. Mais la nouvelle a de quoi inquiéter les Palestiniens. Malgré la reconnaissance de leur cause qui s’étend à travers le monde, malgré les protestations internationales contre le désastre humanitaire à Gaza, malgré les manifestations, les indignations que suscite la tragédie, ce peuple dépossédé, occupé, martyrisé, ne voit plus guère, dans les faits, qui pourra l’aider, demain, à retrouver sa dignité.
Un peuple qui en réalité pourrait se trouver rejeté par tous, violemment par les uns, discrètement par les autres.
Des deux côtés du drame, chez les Israéliens et les Palestiniens, les plaies du passé restent purulentes. Celles du présent, celles encore à venir, le seront aussi longtemps. Nul ne peut esquisser l’avenir. Mais il est sûr que dans les mois et les années qui viennent, les accès violents de fièvre n’en finiront pas.
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Il va jusqu’à promettre une ambassade à Jérusalem… où l’on n’est guère convaincu par ce nouvel allié proclamé. Ses seuls ennemis, dit-il, ce sont l’Iran et le Hezbollah. Et n’a pas un mot quant aux bombes israéliennes qui pleuvent sur son territoire ni sur la présence de Tsahal aux portes de Damas. Silence aussi devant les exactions et les assassinats commis par ses partisans, rapportés sur le net, image à l’appui. En outre, il est prévu de mijoter une nouvelle constitution. La «République arabe syrienne» devrait s’appeler «Etat islamique de Syrie».</p> <p>On peut comprendre la satisfaction des Américains et des Européens voyant que la Russie et l’Iran sont bannis des lieux. Mais comment peuvent-ils peindre ainsi en rose la nouvelle situation? Sans penser aux désastreux précédents de l’Irak, de la Libye?</p> <p>En fait, ce n’est pas totalement surprenant. Lorsque la guerre civile fut déclenchée en 2011, ce sont les mêmes forces islamistes qui prirent très tôt le relais des manifestants qui réclamaient la démocratie, brutalisés par la police d’Assad. Elles furent soutenues aveuglément, des années durant, par plusieurs pays arabes et européens. Ce fut atroce. Un demi-million de morts, dit-on. Sous le double feu du dictateur criminel, certes, et celui des insurgés barbus. Des dizaines de millions d’exilés fuyant la fureur des uns et des autres.</p> <p>N’entrons pas ici dans les spéculations sur l’avenir, sur les desseins des puissances qui, de fait, s’emparent du pays, qui s’agitent au fil de leurs ambitions géopolitiques et économiques. Sans parler du pétrole, exploité par les Américains sur la partie kurde… Qu’il nous soit permis d’évoquer plutôt un souvenir. Cinq ans avant la guerre, un voyage inoubliable en Syrie. Un prêtre nous faisait visiter Alep, tous les quartiers, animés et relativement prospères. Nous parlions avec tous. 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Des contingents étrangers sont sur place, notamment avec environ 1000 soldats français. </p> <p>Alors évidemment Georgescu est un gêneur. Il ne veut pas quitter l’OTAN, mais considère que l’intérêt de la Roumanie, c’est l’arrêt au plus vite de la guerre. Ce qui lui vaut aussitôt chez nous l’étiquette de pro-russe. Il s’oppose aussi à une dépense prévue de 6,5 milliards de dollars pour l’achat d’une flotte de FA-35 dans un pays où le quart de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. On voit dès lors qui veut sa peau, au-delà des appareils politiques locaux accrochés à leurs pouvoirs et leurs privilèges. </p> <p>L’impertinent aggrave encore son cas avec sa revendication d’un meilleur contrôle et d’une plus forte imposition des sociétés internationales (notamment américaines, françaises, autrichiennes, kazakhs, émiratis... et russes) qui exploitent les considérables ressources minières de la Roumanie, pétrole et gaz en tête. 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Et aussi des manies, il est vrai, une fixation sur l’affreux Davos, le redoutable Soros. Un penchant religieux aussi et même mystique. Grand défenseur de la famille traditionnelle, mais pas opposé à l’avortement et aux couples homosexuels. Attentif, et c’est rare, aux minorités, tels les Hongrois sur sol roumain ou les Roms. Ses refrains préférés tournent autour de la défense du peuple roumain, du rassemblement de tous, du redressement d’un pays resté pauvre malgré de réels progrès économiques aux bénéfices trop inégalement répartis. On apprécie ou pas le bonhomme, mais pas de quoi le maudire… ou l’enfermer, ou l’exiler comme en rêvent les plus exaltés de ses adversaires. Certains sont allés jusqu’à couper l’eau et l’électricité de son domicile. A quoi Georgescu réagit avec le sourire et rassure, il restera sur internet et le débat, le combat continueront. 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VOS RÉACTIONS SUR LE SUJET
9 Commentaires
@ALBA 08.03.2024 | 19h21
«Le Monde est malade ! Rabelais disait en son temps : Science sans conscience n'est que ruine de l'âme ! Que dirait-il aujourd'hui de la Finance ? Qu'elle est ruine de l'Homme ! Qu'elle est ruine de la Vie ! Qu'elle est ruine de l'Esprit !»
@willoft 09.03.2024 | 07h44
«Dès 1947, tout cela était planifié.
Comment peut-on imaginer un peuple scindé en trois territoire pouvoir former un état Palestinien?
Ce qui est révélateur est de constater que les lecteurs n'osent même plus commenter.
Par crainte de poursuites, c'est clair!
Tant la machine de guerre propagandiste
fonctionne à pleine vapeur.»
@Persil 09.03.2024 | 19h24
«Merci Monsieur Pilet d'être encore là pour nous éclairer. Profondément triste et en colère devant tant tant d'horreur et d'injustice...»
@willoft 10.03.2024 | 18h30
«Pour enfoncer un peu plus le clou dans la... vapeur et même si les serveurs fonctionnent soit au charbon, nucléaire ou gaz de schiste...
on ne pourra s'empêcher de faire des comparaisons entre deux conflits et se poser la seule question valable...
Mais qui diable dirige le game gafam et autres voyous sans foi ni loi et se sert de l'ONU comme emplâtre sur une jambe de... Bamboo!»
@von 11.03.2024 | 00h49
«Oui, les Israéliens ont été attaqués par les Palestiniens le 7 octobre, 1400 morts en comptant les otages côté Juifs. Oui, les Gazaouis ont été attaqués par l'armée israélienne, 30'000 morts et 70'000 blessés côté Palestiniens. Oui, les Palestiniens de Cisjordanie désarmés sont tirés comme des lapins par les colons israéliens armés jusqu'aux dents. Déjà 450 morts depuis le 7 octobre.
On peut comprendre, sans l'excuser, le coup de sang des Palestiniens après 50 ans de misères, de vexations et de morts. Quand c'est trop c'est trop et le sang coule, c'est l'éternelle histoire des cycles de violence, le sang appelle le sang ! Il n'y a qu'une seule solution: que la raison reprenne ses droits et que la paix revienne. Paix aux hommes de bonne volonté, dit-on, mais qu'en est-il de cette volonté justement?
En 1948, les premiers colons israéliens forcent la main de la SDN et des Anglais à coup d'attentats et créent l'état israélien. Personne n'a rien demandé aux habitants de cette Palestine, ni la SDN, ni les Anglais, ni les Juifs. On peut comprendre que les autochtones n'aient pas aimé, d'autant plus que les Juifs ont expulsé 700'000 Palestiniens pour se faire de la place.
S'ensuivit une guerre, perdue par les Arabes coalisés pour défendre la Palestine. Puis plusieurs autres, toutes également perdues. Les Palestiniens n'avaient pas d'armée, les Israéliens y veillaient, que pouvaient-ils donc faire pour se défendre? Du terrorisme, l'arme des pauvres et des intifadas à coup de cailloux. On peut le comprendre, ils n'avaient pas d'autre moyen pour se défendre.
Les accords d'Oslo étaient proches de leur conclusion que le premier ministre israélien Yitzhak Rabin se faisait assassiner par un Juif extrémiste, coupant net tout espoir de paix pour les décennies à venir. Les Juifs ultra-orthodoxes de la droite dure prenaient le pouvoir en Israël. Depuis lors ils n'ont eu cesse de bâtir des colonies en territoire palestinien et d'en chasser leurs habitants à coups d'intimidations et de meurtres. Leur but est de créer le grand Israël et d'en chasser ceux qui y habitent. "C'est Dieu qui nous a donné ce pays". Fort bien mais qui va respecter ce diktat lorsqu'on n'a pas le même dieu? Aujourd'hui ils sont 700'000 à vivre en territoire palestinien, dans des villages fortifiés armés jusqu'aux dents, après en avoir expulsé leurs propriétaires.
Afin de se protéger des Palestiniens, Israël construisit un mur de séparation réputé infranchissable. On peut comprendre les Juifs. Après des siècles de persécutions, ils aspiraient à retrouver un pays où ils seraient en sécurité. Mais peut-on faire cela au mépris de la sécurité de leurs voisins? Car les Palestiniens continuent à souffrir derrière le mur, les Israéliens les bloquent et les manipulent à leur guise forts de leur puissante armée. Rien n'entre ni sort de la Palestine sans l'assentiment des Israéliens. Les suspects de terrorisme sont emprisonnés sans jugement et torturés ou même carrément assassinés à coups de roquettes lancées par les drones qui survolent en permanence la Palestine. Droit du plus fort !
Peut-on imaginer qu'une telle situation puisse garantir la paix à quiconque? Pour chaque Palestinien tué injustement, ce sont 10 terroristes en puissance qui naissent. La haine appelle la haine et elle n'a pas de fin. Les Israéliens extrémistes devraient réfléchir à cela. Même s'ils atteignent leur but avoué qui est d'éradiquer la Palestine de ses Palestiniens il en restera toujours dans les pays environnants à vouloir tuer du juif. Et un jour ils seront plus nombreux que les Israéliens, et ce jour-là ils se vengeront et ce sera au tour des Juifs de se faire génocider.
Rappelons-nous la prophétie d'Ytzhak Rabin, lui qui avait accepté de serrer la main de Yasser Arafat et que ce dernier appelait "mon cousin": "La paix est le seul horizon possible. Sinon nos petits enfants connaîtront des malheurs terribles en Israël".
Et pourtant la paix serait possible. Autant du côté israélien que du palestinien, il existe une majorité de citoyens qui n'aspirent qu'à cela. Ces majorités-là pourraient se mettre d'accord pour une "paix des braves" et l'imposer démocratiquement à leurs concitoyens. Il y a eu trop de malheurs, il faut que cela cesse. Il faudra cependant maintenir une frontière physique entre Israël et la Palestine pendant un certain temps car les haines de quelques-uns sont encore trop puissantes. Il faudra du temps pour calmer les douleurs, au moins une génération. Mais petit-à-petit, la sécurité et la prospérité économique revenant, les esprits se calmeront et Palestiniens et Israéliens pourront vivre en paix, chacun sur leur territoire respectif.
Reste le problème des colonies des ultra-orthodoxes. Comment résoudre ce dilemne? Une seule solution: démanteler un certain nombre des ces villages-colonies et les rendre aux Palestiniens, qui pourront alors les habiter. Ce serait une juste compensation des injustices qu'on leur a fait subir. Et reloger les colons en territoire israélien. Ce ne sera pas facile, les colons vont vouloir peser de toutes leurs forces sur la démocratie, mais y a-t-il une autre solution?
Lassitude de la guerre et paix des braves. On oublie le passé et on reconstruit un futur paisible, chacun de son côté, et peut-être même ensemble lorsque les douleurs se seront apaisées. Les Palestiniens pourront enfin vivre normalement. Les Israéliens pourront enfin vivre en sécurité sans que quiconque veuille les exterminer. Et cela rejaillira aussi sur les Juifs du monde entier.
Parce qu'on n'en parle pas, de ces Juifs de la diaspora, mais ils font également partie du problème. Pourquoi cela? Parce que leur passé commun, fait de persécutions et de peurs, les incite à tenir inconditionnellement le parti d'Israël. C'est cela le drame car ils constituent une force de pression discrète mais néanmoins agissante. Les populations le ressentent et c'est pour cette raison que des manifestations de ce que les Juifs appellent "antisémitisme" apparaissent dès qu'Israël fait une mauvaise action envers les Palestiniens. Les Juifs ne sont pas critiqués parce qu'ils sont juifs, mais parce qu'ils sont inconditionnellement solidaires des mauvaises actions israéliennes, ou du moins qu'ils ne font rien pour s'y opposer ou pour les critiquer publiquement. S'ils le faisaient, ils cesseraient d'être considérés, à tort ou à raison, avant tout comme Juifs et non pas comme des concitoyens. S'ils changeaient d'attitude, ils seraient reconnus comme citoyens ordinaires, au même titre que les catholiques ou les protestants.
Finalement, c'est la paix du monde qui découlera de la paix en Palestine. Cela vaut la peine que toutes les bonnes volontés s'y mettent et se donnent la main pour y arriver.
Shalom-Salam alek. »
@willoft 12.03.2024 | 22h49
«Il ne sert sûrement à plus rien d'épiloguer sur la vanité et l'hypochrisie du monde (les trois yachts de Jeff, dont un pour l'assistence, 70m, les autres 120M).
Je tenais toutefois à relever le courage du Pape François.
Voilà un homme qui a suivi l'humilité de sa religion catholique, dans le vrai sens du terme, qui a vécu les horreurs de la dictature argentine,
et qui se souciant des humains demande la trêve partout... en sage!
On l'incendie de partout...
Ne fait pas aux autres ce que tu n'aimerais pas subir devrait apparaître en lieu de
"liberté, Egalité, Fraternité"
Le peuple sioniste l'a sans doute oublié après tant d'années.»
@willoft 12.03.2024 | 23h01
«P.S. Je parlais d'Amazon, car ces gens sont des voyous de grand chemin.
Vous avez un problème avec un achat, (bon je voulais faire un cadeau à une amie américaine) on vous facture à double, vous réclamez et vous êtes en contact avec de pauvres gens du tiers monde, Inde, Nigéria, Mexique,
qui sont payés avec des clous et qui ne connaissent rien.
Un peu comme vos virements qui mettent un, deux, trois jours à arriver, alors que l'on vous débite à la minute...!»
@willoft 14.03.2024 | 02h14
«Bon, il faut avoir l'humidité (je laisse le correcteur...) de balayer devant sa porte
Réclamant à postfinance que mon ordre permanent du 10 n'est pas effectué le 13...
On me répond qu'on me répondra dans les cinq jours...
Maillard, n'as tu pas honte de soutenir des incapables ???»
@rhodiola 22.03.2024 | 08h29
«Comment croire que les Palestiniens vont accepter d'être exilés en Egypte? Un torrent de haine va s'abattre sur Israël. Il faut être inconscient pour ne pas le voir. La solution équitable, deux états d'égale importance. Expulser les colons juifs. Sinon on repartira pour des dizaines d'années de conflits et de massacres inutiles. Les peuples souhaitent la paix. Comment laisser décider des gouvernements qui entrainent leur population au suicide collectif?»