Culture / La fin de l’année et la fin du monde
Apocalypse de Bamberg, manuscrit du XIème siècle.
La fin de l’année est toute proche, et si la fin du monde l’était tout aussi? Et si, au crépuscule de cette année 2022, avaient commencé les grandes tribulations qui feront de 2023 l’an terrible de la fin du monde? Plaisanterie à part, le sujet est sérieux. Loin des calculs faussement savants et des élucubrations fanatiques, Adrien Candiard aborde, dans «Quelques mots avant l’apocalypse», un regard sur notre monde et notre vie à la lumière de l’apocalypse.
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Notre imaginaire est cinématographique. Le cinéma d’anticipation figure tant des mondes apocalyptiques qui approchent de la fin que des mondes postapocalyptiques où la vie reparaît tant bien que mal après un grand déluge.</p> <p>Sans forcément le savoir, notre imaginaire est aussi biblique. Du livre de la Genèse, qui raconte le mythe du déluge dont s’est sauvé le personnage de Noé avec sa famille et des animaux de chaque espèce, jusqu’à l’Apocalypse, dernier livre de la Bible chrétienne qui raconte en symboles comment le monde actuel sera détruit et comment le Christ reviendra, en passant par les livres des prophètes Daniel ou Isaïe qui racontent leurs visions d’un paradis qui succèdera à la destruction de ce monde, un paradis où «le loup et l’agneau paîtront ensemble» (Is 11,6).</p> <p>L’apocalypse, c’est la fin du monde, on s’entend. Mais qu’y a-t-il encore derrière ce mot qui fait frémir? Il y a un genre littéraire. 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Et tel n’est pas le but de ces quelques lignes. Récit d’une plongée entre science et émerveillement à Aquatis. Le ton est donné dès la première pièce. Les couleurs et l’ambiance spectaculaires nous indiquent qu’il ne s’agit pas que d’un musée froid et austère. Mais les schémas scientifiques, les descriptions sérieuses et tout sauf infantilisantes nous indiquent aussi qu’enfants comme adultes n’ont qu’à bien se tenir car il ne s’agit ni d’un parc d’attraction ni de quelqu’autre défouloir. Dotés d’une grande originalité, les tableaux explicatifs, films et diverses animations donnent le goût de la science, dans le sens qu’ils donnent envie de savoir et d’en apprendre davantage sur le monde qui nous entoure. On y découvre ainsi poissons, reptiles et même quelques mammifères des cinq continents disposés dans un ordre parfait. On en apprend davantage sur la géographie de nos contrées en se concentrant sur le Rhône sous toutes ses formes, puis sur le Léman et jusqu’à la mer Méditerranée. 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Dans la tourmente de l’entre-deux guerres, connaissant la pauvreté et le racisme, mais aussi les fêtes de la diaspora arménienne dans le café de son père, les danses, les chants, et les premiers pas sur les planches. «<a href="https://www.youtube.com/watch?v=jSqkbJxF-Mo" target="_blank" rel="noopener">Les deux guitares</a>», chant tzigane, nous ramène à cette époque.</p> <p>Place ensuite au jeune homme, qui rêve de gloire, et qui collectionne les petits boulots. Fatigué d’imiter Trenet et de chanter les bruits de fond des cabarets, il se bat «à corps perdu, assoiffé, obstiné» pour chanter lui aussi l’amour, pour écrire les grands textes qui feront pleurer la France et le monde. Il construit sa vie, avec un mariage, une enfant, une tournée au Québec, et puis déconstruit tout. Il se sépare même de celle dont il est l’homme à tout faire, j’ai nommé «la Môme». 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Le film est bien décevant sous certains aspects, il comporte bien des problèmes tant au niveau du jeu que de la réalisation. <i>Et pourtant, pourtant…</i> ce film a du cœur.</p> <p>Aussi, être grincheux face à cette équipe de jeunes qui aiment sincèrement Aznavour et qui se sont donnés de la peine pour réaliser ce film, ce serait jouer les scribouillards qui critiquent tout sans avoir jamais rien fait par soi. La critique aurait eu de quoi se déchaîner si le film et son équipe étaient prétentieux. <i>Et pourtant, pourtant…</i> il n’en est rien. Etre grincheux, c’eût été encore faire le jeu de ces critiques qui s’en prenaient à Aznavour lui-même en écrivant, pour l’un d'eux cité dans le film, «comment peut-on laisser un infirme chanter?», avant de venir présenter ses excuses à un Aznavour bonhomme qui n’en tient pas rigueur et qui offre même une coupe de champagne à son détracteur.</p> <p><i>Et pourtant, pourtant…</i> disons ce qu’il y a à dire. Le jeu de Tahar Rahim, avec les qualités de ses défauts, est davantage une imitation, parfois exagérée aux confins du ridicule, qu’une interprétation. Sans parler des colères surfaites de Charles qui auraient eu davantage leur place sur des planches de théâtre que sur un plateau de cinéma. Quant à la famille Aznavourian et leur entourage, jamais n’a été livrée une mise en scène aussi caricaturale des gentils Arméniens qui aiment la poésie et les fêtes, et qui sont très pauvres mais vraiment très très gentils, généreux et accueillants alors. On est à la limite du racisme.</p> <p>La musique et les paroles d’Aznavour passent comme une bande-son qui font compagnie aux images. Et la trame est agencée sans aucune originalité. 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Aznavour me rejoint dans ma <a href="https://leregardlibre.com/musique/la-dimension-chretienne-de-loeuvre-daznavour/" target="_blank" rel="noopener">vie spirituelle</a>, dans ma vie sexuelle – ou du moins telle que je la <a href="https://leregardlibre.com/musique/aznavour-un-chanteur-du-sexe/" target="_blank" rel="noopener">phantasme</a> – et surtout dans ma vie de <a href="https://leregardlibre.com/musique/aznavour-chante-les-loosers/" target="_blank" rel="noopener"><i>loser</i></a>. Aznavour chante les <i>losers</i>. Aznavour est un <i>loser</i>. J’en suis un aussi. <i>Et pourtant, pourtant…</i> le <i>loser</i> n’est pas celui qui a tout raté, loin de là. 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Vu de loin, sa couleur est celle du bonheur. Survolant les contrées finalement dévastées (guerre, surexploitation, surconsommation, etc) ce n'est pas le peur qui nous envahit, mais bien souvent l'envie de prendre l'avion comme on prend - une dernière fois - du bon temps. Sur la mappemonde, des lignes artificielles délimitent des pays et des nations qui s'invectivent. Soyons clairvoyants, les dirigeants de ces nations sont des êtres (humains) malveillants. Ils le sont de deux façons, ils veillent mal sur les citoyens qui leur ont confiés le pouvoir (ou celles et ceux auxquels ils ont confisqué tous droits) et ils sont malveillants car font le mal consciemment. Ils sont au service d'une multinationale de l'exploitation des démunis. Ils obéissent et laissent faire ceux qui brûlent et dévastent la Nature. Rien de nouveau dans ce constat. Depuis la mort de Mandela, plus aucun dirigeant honnête n'est en place. 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«Il n’est guère d’époque où personne ne se soit cru contemporain de la fin des temps.»
Apocalypse?
Si l’on pense à l’apocalypse, on pense à de grandes catastrophes naturelles, à des mégalopoles en ruines, à la misère des survivants qui errent sur une Terre en agonie. Notre imaginaire est cinématographique. Le cinéma d’anticipation figure tant des mondes apocalyptiques qui approchent de la fin que des mondes postapocalyptiques où la vie reparaît tant bien que mal après un grand déluge.
Sans forcément le savoir, notre imaginaire est aussi biblique. Du livre de la Genèse, qui raconte le mythe du déluge dont s’est sauvé le personnage de Noé avec sa famille et des animaux de chaque espèce, jusqu’à l’Apocalypse, dernier livre de la Bible chrétienne qui raconte en symboles comment le monde actuel sera détruit et comment le Christ reviendra, en passant par les livres des prophètes Daniel ou Isaïe qui racontent leurs visions d’un paradis qui succèdera à la destruction de ce monde, un paradis où «le loup et l’agneau paîtront ensemble» (Is 11,6).
L’apocalypse, c’est la fin du monde, on s’entend. Mais qu’y a-t-il encore derrière ce mot qui fait frémir? Il y a un genre littéraire. A partir de scènes grandioses et cosmiques, ce genre veut livrer des signes pour percer et interpréter l’histoire de l’humanité. Ce genre révèle, et c’est bien la signification première du mot grec «apokalupsis» qui veut dire «révélation» ou «dévoilement». Que ces prophéties ne soient que des mythes que se sont créés les hommes ou pas, il faut voir que derrière une révélation, il y a la recherche d’une vérité. S’il y a donc un but à l’apocalypse c’est bien la vérité et non la destruction.
Annonce de la fin des temps
Le personnage de Jésus, dans le Nouveau Testament de la Bible chrétienne, annonce à de nombreuses reprises la fin des temps. Comme le fait remarquer Adrien Candiard, ce Jésus prophétisant est plutôt pour déplaire. On n’aime pas trop le Jésus qui annonce des «pleurs et des grincements de dents» (Lc 13,28) pour la fin, on lui préfère celui des Béatitudes qui annonce: «Heureux ceux qui ont faim et soif de justice: ils seront rassasiés.» (Mt 5,6). Cohérence oblige, que cela se fasse dans une démarche de foi ou dans un pur intérêt culturel, il faut prendre l’ensemble des paroles de Jésus rapportées dans les quatre Evangiles.
Il est aussi question du fameux Jugement dernier dans les paroles de Jésus sur la fin des temps. Selon la croyance chrétienne en version simplifiée voire très simpliste, à la fin les bons, récompensés, iront au paradis et les mauvais, punis, en enfer. Cette imagerie manichéenne en a éloigné plus d’un de la religion.
Candiard raille ce simplisme à son tour: «inutile de défigurer Dieu en lui prêtant les traits d’un Père fouettard menaçant et à vrai dire un peu soupe au lait». Il ajoute, selon une interprétation chrétienne de plus en plus partagée, que «ce qui nous détruit, ce n’est pas le châtiment de Dieu, mais notre péché même, par ses conséquences nécessaires.» Il conclut: «les limites ne sont pas une fantaisie de moraliste, mais une réalité dont on doit tenir compte, sous peine de s’y heurter violemment.» Le péché, avant d’être un interdit, est surtout destructeur.
2022 apocalyptique
Il ne s’est sans doute pas passé une année depuis l’ère chrétienne sans qu’on se dise que ça y est, là maintenant la fin des temps est vraiment proche. On a inventé des calculs et autres relectures bibliques pour annoncer la fin. Mais quel intérêt? Est-ce par peur que cette fin arrive vraiment, qu’on veut s’y préparer en l’annonçant obsessionnellement? Ou par intérêt? Certains gourous se sont fait beaucoup d’argent grâce à l’apocalypse… Quel intérêt d’autant plus, pour ceux qui prennent en considération l’Evangile, que Jésus dit clairement «nul ne connaît ni le jour ni l’heure, ni les anges ni les Fils, sinon le Père.» (Mt 24,36)
Disserter sur comment le Covid, les guerres et les crises écologiques peuvent nous laisser voir le début de la fin paraît inutile. Voir en revanche, dans les crises qui ont traversé 2022, des signes sur l’état du monde et des hommes qui l’habitent, voilà qui est plus intéressant. Voilà en quoi on peut voir nos apocalypses politiques, sociales, financières, sanitaires, psychologiques et spirituelles. Ce qui n’enlève rien, par ailleurs, à la révélation chrétienne qui annonce vraiment la fin de ce monde à ses fidèles, pour une date inconnue.
Porter le regard sur 2022, et voir qu’en début d’année nous étions masqués. La crise du Covid semble désormais lointaine, sauf pour ceux en paient encore les conséquences financières, mais elle est toute proche, et nous étions il y a quelques mois au cœur des restrictions, bonnes ou mauvaises fussent-elles. A peine les médias ont-ils achevé leur litanie d’annonces aussi quotidiennes que macabres des morts du Covid, que la guerre en Ukraine a occupé tous les écrans, alors qu’officieusement elle a commencé en 2014.
De cette guerre qui fait encore tristement rage, comme tant d’autres dont on ne parle pas à l’instar du Mali, du Yemen, du Soudan, de l’Ethiopie, on passe à des femmes iraniennes qui se lèvent contre la dictature morale et politique des ayatollah. Et puis il y a cette grande farce d’un championnat du monde de foot dans un désert, dont le pays organisateur est bien moins à blâmer que les hypocrites boycotteurs qui ne se sont rendu compte que maintenant qu’il y avait des esclaves dans la péninsule arabique.
Oui, l’année 2022 fut bien apocalyptique, comme les années précédentes. Certains interprètent ces crises comme l’approche de l’apocalypse. Libre à eux de le faire, tant qu’ils ne manipulent pas les foules par la peur.
Que faire de l'apocalypse aujourd'hui?
Le propos de Quelques mots avant l’apocalypse est davantage celui de la prise de conscience que de l’interprétation des signes des temps récents. Que nous dit l’apocalypse aujourd’hui? Il nous dit que les crises sont bien réelles et qu’elles n’iront pas forcément en s’apaisant au fil des années. Il y a de quoi avoir peur, mais il ne faut pas que la peur l’emporte. «Ne pas s’alarmer, comme Jésus nous y invite, c’est refuser cette escalade de peur pour regarder le danger comme il est, et chercher à réagir comme il convient. Il ne s’agit donc pas de traiter les défis apocalyptiques de notre temps avec désinvolture, mais au contraire de s’efforcer de les affronter avec sérieux, sans se laisser tétaniser ni sidérer par l’angoisse.»
L’apocalypse nous rappelle encore que toute chose a une fin, à commencer par notre propre vie. Comme la fin des temps, la mort arrive un jour, après une longue maladie ou quand on s’y attend le moins. Jésus demande de veiller, eh bien à notre échelle veillons aussi sur notre vie et prenons-en soin, car elle est éphémère.
Dernier point intéressant qui nous invite, dans cette veille qu’est la vie terrestre, à tendre son existence vers le bien. Lorsque l’Evangile parle de la fin, le mot grec utilisé est «telos» et non «eschaton». Contrairement à «eschaton» qui revoie aux derniers temps, «telos» traduit à la fois l’achèvement et la finalité. Il y a là une invitation à chercher la finalité que l’on veut donner à sa vie pour être une personne achevée, accomplie. Autrement dit, une invitation à chercher et accueillir le sens de sa vie.
A chacun son chemin, chacun son libre arbitre. Mais dans l’accomplissement du bien, le chemin sera certainement plus lumineux. L’apocalypse aujourd’hui, c’est donc chercher un sens à sa vie et tendre vers son accomplissement.
«Le désir de dominer ses semblables n’a rien de nouveau; ce qui est nouveau, c’est que ce désir a patiemment su construire les outils de mobilisation des sociétés pour permettre des guerres totales, conduisant à des destructions totales, dont le cataclysme nucléaire n’est que l’apothéose logique, l’aboutissement inévitable. Le désir de posséder n’a rien de nouveau; ce qui est nouveau, c’est qu’il a tourné à une frénésie de consommation et d’accumulation qui mène à l’épuisement des ressources naturelles, à l’effondrement de la diversité animale et des rendements agricoles, à la destruction de notre environnement. Notre exceptionnelle maîtrise technique, loin de servir principalement à développer des garde-fous, a surtout conduit à rendre cette dévastation plus facile, plus complète.»
«Quelques mots avant l’apocalypse. Lire l’Evangile en temps de crise», Adrien Candiard, Editions du Cerf, 120 pages.
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Le film est bien décevant sous certains aspects, il comporte bien des problèmes tant au niveau du jeu que de la réalisation. <i>Et pourtant, pourtant…</i> ce film a du cœur.</p> <p>Aussi, être grincheux face à cette équipe de jeunes qui aiment sincèrement Aznavour et qui se sont donnés de la peine pour réaliser ce film, ce serait jouer les scribouillards qui critiquent tout sans avoir jamais rien fait par soi. La critique aurait eu de quoi se déchaîner si le film et son équipe étaient prétentieux. <i>Et pourtant, pourtant…</i> il n’en est rien. Etre grincheux, c’eût été encore faire le jeu de ces critiques qui s’en prenaient à Aznavour lui-même en écrivant, pour l’un d'eux cité dans le film, «comment peut-on laisser un infirme chanter?», avant de venir présenter ses excuses à un Aznavour bonhomme qui n’en tient pas rigueur et qui offre même une coupe de champagne à son détracteur.</p> <p><i>Et pourtant, pourtant…</i> disons ce qu’il y a à dire. 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VOS RÉACTIONS SUR LE SUJET
3 Commentaires
@Docileindou 30.12.2022 | 15h37
«Bonjour et merci pour ce texte révélateur
Nous vivons sur une belle Terre. Vu de loin, sa couleur est celle du bonheur. Survolant les contrées finalement dévastées (guerre, surexploitation, surconsommation, etc) ce n'est pas le peur qui nous envahit, mais bien souvent l'envie de prendre l'avion comme on prend - une dernière fois - du bon temps. Sur la mappemonde, des lignes artificielles délimitent des pays et des nations qui s'invectivent. Soyons clairvoyants, les dirigeants de ces nations sont des êtres (humains) malveillants. Ils le sont de deux façons, ils veillent mal sur les citoyens qui leur ont confiés le pouvoir (ou celles et ceux auxquels ils ont confisqué tous droits) et ils sont malveillants car font le mal consciemment. Ils sont au service d'une multinationale de l'exploitation des démunis. Ils obéissent et laissent faire ceux qui brûlent et dévastent la Nature.
Rien de nouveau dans ce constat. Depuis la mort de Mandela, plus aucun dirigeant honnête n'est en place. En 2023, les élections en Suisse porteront au pouvoir les continuateurs de cette destruction. Celles et ceux qui s'y opposent n'ont plus de voie (peu de voix). Le peuple devant l'urne ne souhaite que fermer ses oreilles et prendre l'avion.
2023 révélera une fois de plus l'incompétence totale des politiques. Et ils resteront sur leur fauteuil.
Comme de bien entendu madame la marquise.
»
@simone 31.12.2022 | 15h57
«Merci de ces réflexions fort intéressantes.
Bonne et heureuse année à toute la rédaction..
Suzette Sandoz»
@LorisSalvatoreMusumeci 05.01.2023 | 10h12
«Merci à vous pour vos commentaires intéressants et encourageants. Belle journée et bonne année nouvelle ! Loris »