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Chronique / Le réalisme positif optimisera notre passif
Prenant le contrepied du catastrophisme en vogue, notamment illustré par «Le Calendrier de l’après», dernier roman dystopique de Nicolas Feuz, entre autres raisons de désespérer entretenues par la gauche perdante et la droite arrogante, Rutger Bregman parie pour les utopies réalistes en affirmant que l’humanité vaut mieux que ce qu’on croit… Lire la suite...
Jean-Louis Kuffer
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