Culture / Correspondance amoureuse au temps de Vermeer
Exposition Vermeer et les maîtres de la peinture de genre DR
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Exposition Vermeer et les maîtres de la peinture de genre DR
Ecrivaine et bloggeuse érotique, Clarissa Rivière a été inspirée par l’exposition Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre de Paris. Au fil des tableaux, en fonction des scènes qui y sont représentées, elle a imaginé le scénario d’une histoire d’amour se déroulant au XVIIe siècle, dans la bonne société hollandaise.
Monsieur venait d'être terrassé par le coup de foudre après avoir entrevu une jeune personne accoudée mélancoliquement à sa fenêtre. Il lui déclara sa flamme dans une lettre passionnée:
Ma mie, quand vous m’apparûtes ce matin au balcon, votre doux sourire souleva mon âme, un élan fougueux me tendit vers votre gracieuse personne. Permettez que je vous écrivisse et vous confiasse les tourments de mon cœur... *
Pendant ce temps, goguenard, l’homme de main attendait. Voilà que Monsieur s’était encore amouraché d’une donzelle qui le prendrait de haut, et lui, il faudrait qu’il coure la ville, qu’il vente ou qu’il pleuve, pour remettre des mots doux plus urgents encore que des messages codés en pleine guerre! Monsieur ferait mieux de choisir une souillon de sa maison, il l’aurait sous la main, au lieu de se consumer ainsi pour des chimères et des grands airs...
Viole de gambe et dentelle
Madame s’ennuyait entre sa viole de gambe et sa dentelle, à peine distraite par son chien de manchon, et voilà qu’une occupation intéressante se présentait: un soupirant, une déclaration... elle tomba éperdument amoureuse dès les premières lignes et s’attabla aussitôt pour répondre sur l’heure quelques mots bien tournés. Sa servante s'impatientait, attirée par l'animation du marché. Enfin Madame l’envoyait faire une course! Elle n’en pouvait plus de nettoyer les sols... battre le pavé, sortir au soleil la réjouissait, et nul ne lui reprocherait de musarder en route! Quand Madame aurait donc fini ses écritures! Que c’était long...
Une correspondance s’établit, intense, ininterrompue. A toute heure du jour et de la nuit, la jeune servante était chargée de remettre de précieuses missives en main propres à l’homme de main. Lui était sollicité à son tour, il traversait toute la ville muni des réponses de Monsieur, bien moins nombreuses il est vrai que les messages de Madame. Il faut dire que Madame avait le temps, seulement occupée de chiffons et de musique, quand Monsieur commandait tout un régiment.
Humé avec extase
Madame ne réussissait jamais à échapper à la vigilance de sa famille, Monsieur était toujours pris par mille obligations. Mais leurs serviteurs, eux, se rencontraient sans cesse. Ils firent connaissance, échangèrent des mots vifs, se plurent à force de se frôler en secret dans les embrasures de portes.
La petite était farouche et trottait vite, mais il finit par remarquer qu’elle était mignonne sous son fichu avec son nez effronté et ses tâches de rousseur. Il commença par lui voler un baiser. Elle se sauva en riant, les joues en feu, toute émoustillée. Il était lancé, il s’enhardit. Ce furent d’abord des chatouilles, des enlacements, des danses, d’autres baisers... et une nuit, alors que toute la maisonnée sommeillait, il la troussa dans les cuisines et la besogna avec entrain.
Leurs maîtres progressaient aussi de leur côté. Madame venait de laisser tomber son mouchoir parfumé depuis sa fenêtre. Il avait été attrapé avec adresse par Monsieur qui l’avait humé avec extase.
* Concordance des temps et vieux françois au hasard, pour faire "ancien" et s'amuser.
Clarissa Rivière écrit depuis quelques années des nouvelles érotiques, publiées notamment aux Éditions La Musardine ou par L'ivre-Book. Elle tient également un blog, Les goûters de Clarissa, où elle confie ses fantasmes, évoque ses lectures, les événements auxquels elle participe, au gré de ses envies. Elle vit tout à la fois à Paris et en province.
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Facile, les contes de fées et les contes mythologiques regorgent d’exemples, je m’étais d’ailleurs essayée à l’exercice avec les métamorphoses de Jupiter dans <em>La vengeance de Junon</em>. <br></p><h4><img class="img-responsive " src="https://media.bonpourlatete.com/default/w1200/1514205090_sanstitre.png"> <em>La belle et la bête, Twillight, King-Kong, Le Rêve de la femme du pêcheur.</em> © DR<br></h4><p>Un souvenir m’est revenu du fond des âges, de mon enfance - je sais que l’on doit éviter d’écrire sur les mineurs, mais puisqu’il s’agit de moi, je pense que ça ne cause pas de souci, en espérant ne choquer personne! </p><h3>Jeux innocents</h3><p>Enfant, je passais souvent une partie des grandes vacances avec ma meilleure amie. Nous dormions dans le même lit, nos bavardages et fous rires nous entraînaient souvent tard dans la nuit.<br></p><p>Cette année-là, nous devions avoir entre 7 et 9 ans je pense – j’étais déjà grande pour garder des souvenirs aussi intacts, mais trop jeune encore pour penser à mal et remuer des fantasmes érotiques – on offre à mon amie deux petites souris blanches, mignonnes comme tout, affairées, nerveuses, toutes fines et légères… elles nous amusaient beaucoup, et nous occupaient toute la journée – la vie avant les écrans!</p><p>Le soir, on les prenait dans nos mains, palpitantes et tremblantes, on s’allongeait nues sur le lit et on les faisait courir sur nos bras, nos ventres, un peu partout… On a commencé à jouer comme ça, chacune de notre côté, émoustillées par les rires de l’autre, et par les petites griffes qui nous piquetaient à toute allure. Et puis on a corsé le jeu. Je fermais les yeux, je devais rester absolument immobile, mon amie s’amusait à déposer la souris ici ou là, au hasard de son inspiration. C’était encore meilleur de ne pas savoir où les petites pattes allaient se poser et courir. Ensuite, on inversait les rôles, c’était à mon tour de la torturer. Je me souviens de nos rires, des frissons qui nous parcouraient, du cliquetis infime des minuscules griffes sur notre peau qui nous chatouillaient partout… c’était tout simplement délicieux.</p><p>Bien sûr, les souris se sauvaient sans cesse, on passait notre temps à se relever et à courir partout dans la chambre pour les rattraper. On s’agitait toutes nues, secouées de rires, plongeant à quatre pattes sous les meubles pour tenter d’attraper ces fichues bestioles afin de les remettre sur le bon chemin, nos bras, nos dos…</p><p>Un soir, son père est entré sans frapper, ou nous n’avons rien entendu. 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Je crois que l’on n’a plus jamais osé recommencer, nous contentant de nos jeux diurnes: fabriquer des maisons pour les souris, leur inventer des parcours et des obstacles... Nous avons ensuite croisé des orvets dans le jardin – ce sont des sortes de petits serpents – et avons tenté la même chose avec leurs corps froids et glissants ondulant sur notre peau... mais avec moins succès il me semble. Ils nous échappaient, ils étaient encore plus vifs que les souris, nous abandonnant parfois leur queue, comme les lézards, ce qui nous dégouttait un peu. Nous avons fini par en perdre un dans la maison, et les hurlements de la mère de mon amie – l’orvet s’était lové sur le téléphone – ont sonné la fin de nos expériences sensuelles avec nos amis les animaux. Définitivement. 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Une ville culturelle avant tout, offrant de grandes expositions, des musées innombrables: le petit et le grand palais, le Louvre que l'on ne présente plus, le Musée d'Orsay, mon musée préféré entre tous… Paris, c’est aussi la capitale de la mode, avec ses boutiques de luxe, ses grands magasins. <br></p><h3>«Un autre type de festivités m'interpelle»<br></h3><p>La nuit, Paris s’illumine, l'opéra s'éclaire de mille feux, les théâtres bruissent de tirades, les noctambules investissent leur Paris festif, celui des bars où l'on discute toute la nuit entre habitués, des bars branchés qui débordent de clients jusque sur les trottoirs, des bars à la mode avec leur terrasse ou leur décoration design, où l’on trinque avant d’aller danser... mais je ne suis pas la mieux placée pour en parler, car un autre type de festivités m'interpelle. </p><p>Et bien sûr, quand on évoque Paris, on pense tout de suite aussi au Paris érotique, celui du french cancan, des mœurs légères, aujourd'hui concentré à Pigalle, avec ses sex-shops, ses Live shows... toute une activité tapageuse autour du sexe, une espèce de vitrine clinquante et ringarde. Une autre activité cachée, n'offre aux regards des passants qu'une porte sombre avec une sonnette dorée: le libertinage. <br></p><p>Je tente donc une visite guidée virtuelle de ce Paris libertin, à travers ses clubs. <br></p><h3>Croiser des corps connus</h3><p>Impossible de ne pas commencer par le plus connu d'entre eux, le grand club emblématique de Paris, <a href="https://les-chandelles.com/">Les Chandelles</a>, lieu glamour à la sélection impitoyable, visant une clientèle haut de gamme. Après avoir déposé nos manteaux au vestiaire, chaussé nos talons vertigineux, on descend dans de très belles caves décorées avec soin, façon boudoir ou maison close de la belle époque, avec une lumière dorée qui nous magnifie et fait briller les strass. On peut y dîner, la table est excellente, danser, avant de traverser le miroir et se retrouver dans un monde où règne la sensualité. Plusieurs pièces sont plongées dans la nuit, nos yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité, et nous distinguons des étreintes, des corps nus en action, luisant faiblement... <br></p><p>Nous circulons entre les deux grandes salles séparées par un long couloir, l'une proposant plusieurs recoins à demi cachés; l'autre plus éclairée, exposée aux regards. Il y a aussi une chambre aux miroirs pouvant accueillir deux couples, et quelques voyeurs sur le seuil. L’ambiance est élégante, feutrée, troublée parfois par des soupirs, des gémissements... </p><p>A noter que l'après-midi, le club s'ouvre aux couples et aux hommes seuls, pour une ambiance bien plus torride, joyeuse, joueuse. Ne pas manquer en particulier le déjeuner scandaleux proposé tous les jeudis. Seul risque, retrouver par hasard quelques connaissances! </p><h3>Caresses et accessoires</h3><p><a href="http://www.taken-club.fr/">Le Taken</a>, bien plus récent, talonne Les Chandelles : il est tout aussi beau, et plus détendu. Il se situe au cœur de Paris, sur l'Ile St Louis, et se déploie dans de grandes caves voûtées anciennes. Les lieux sont vastes, joliment décorés, un mélange baroque, moderne et vintage réussi, et mis en valeur par une belle lumière. Nous découvrons d’abord le bar, très accueillant, propice aux discussions, juste avant la piste de danse. On danse beaucoup au Taken, la piste de danse reste très animée à toute heure de la nuit, les derniers tubes tournent en boucle. Je parle en connaissance de cause, quand j’y suis allée la première fois, je n’ai fait que danser toute la nuit, oubliant de jouer les curieuses! <br></p><p>Une porte sur le côté nous conduit dans un dédale de couloirs. Tout de suite, un immense lit à baldaquin nous attire, avec ses voilages et son miroir. Souvent déserté en début de soirée, il sera pris d'assaut un peu plus tard. Plus loin, une chambre aux murs de miroirs propose un abri plus intime, on peut s’enfermer et oublier le reste du monde, on risque juste d’être regardé par la fenêtre! Tout au fond, la lumière se tamise encore, plusieurs banquettes s’offrent aux libertins, ainsi qu’un espace bdsm avec une croix de saint André. Plusieurs paddles et martinets sont accrochés au mur, pour le décorum surtout. Rien de très sérieux ne s'y déroule, on joue un peu avec le feu, on s'attache, on se caresse avec quelques accessoires... </p><h3> «Pas de doute, on n'est pas là pour danser»</h3><p><a href="http://www.mask-paris.com/">Le Mask</a> est également un club incontournable de la capitale. Plus petit, il offre un espace intermédiaire au rez-de-chaussée où l’on peut prendre un verre, se séduire, se plaire, s’aborder… des masques sont mis à disposition pour les plus timides, ou ceux qui veulent se déguiser. J’avoue, lors de ma visite, je les ai tous essayés! Avant de renoncer à en porter un, pas très pratique pour boire une coupe de champagne… <br></p><p>Plus loin, les banquettes s'élargissent et accueillent des échanges de caresses plus poussés. Au sous-sol, les choses sérieuses sont directement lancées: un grand lit, de larges banquettes, le doute n'est plus possible, on est là pour s'aimer! Une minuscule piste de danse, la musique est souvent excellente, mais ici, on n'est pas là pour danser. <br></p><p>Alors que <a href="http://www.overside.fr/">L'Overside</a> a clairement fait le choix d'une grande piste de danse, les espaces câlins sont isolés, à l'écart, on se croit d’abord dans une boîte classique. Haut lieu du libertinage parisien au début des années 2000, il semble qu'il soit aujourd'hui un peu en perte de vitesse. (Il faudrait que je reprenne mon bâton de pèlerin de journaliste terrain et que je juge sur pièces.) </p><h3>Paréo et déco kitsch</h3><p>On trouve aussi à Paris des clubs «humides», c'est à dire avec un jacuzzi, un hammam, un sauna. Là, point de tenue de soirée exigée puisque dès notre arrivée on se déshabille, comme à la piscine mais sans le maillot de bain, et direction le bar en paréo! Ambiance de vacances garantie au <a href="https://www.mooncity.fr/">Moon City</a> et à <a href="https://www.eclipse-paris.com/">L'Eclipse</a>, avec leur déco kitch et vaguement orientale. <br></p><p>Le Moon aurait quand même besoin d'un rafraîchissement et d’un coup de peinture. Il offre un immense jacuzzi, et, à l'étage, des coins câlins pour tous les goûts: des cabines fermées ou ouvertes de toutes tailles, une grande salle pour des jeux plus collectifs. J’ai testé le brunch du dimanche matin avec deux amies. C’était bon de grignoter des viennoiseries, de bavarder, d’échanger des confidences, tout en profitant du jacuzzi et du reste, sous les œillades de ces messieurs. Certains nous ont même proposé des massages. Merci, une autre fois peut-être! L'Eclipse est plus petit, il n'est réservé qu'aux couples. <br></p><h3>Cris et chuchotis </h3><p>D'autres clubs fleurissent dans Paris, je voudrais seulement citer Le <a href="https://www.2plus2.fr/">2+2</a>, l'un des clubs historiques de Paris; <a href="http://chateau-des-lys.fr/">Le château des Lys</a>; Le <a href="https://www.wemagnifique.fr/">WE</a> ; <a href="http://rituelfoch.fr/">Le Rituel Foch</a>, un club sauna plus récent; <a href="http://cris-et-chuchotements.com/">Cris et Chuchotements</a>, un club bdsm... Il en existe tant d'autres, dont la fréquentation laisse peut-être à désirer, mais un petit tour s'impose pour vérifier! <br></p><p>En dehors des clubs libertins, de plus en plus de soirées sont proposées. Les organisateurs louent des clubs, des salles, apportent leur touche originale, programmation musicale et décors. Ils demandent souvent de respecter un <em>dress code</em>, il y a parfois des shows, des performances… <br>Au-delà des espaces libertins habituels, on peut aussi explorer les soirées spéciales, organisées par des privés dans des lieux inattendus. Exemples.<br><a href="http://laslosardanapale.wixsite.com/monsite">Embrassez qui vous voulez</a> ou les soirées bdsm, en grand nombre. Là, il faut venir vêtu de cuir, de latex ou de vinyl! Par exemple, les événements organisés par <a href="http://www.maitressekevents.com/">Maîtresse K</a>, <a href="http://www.nuitdemonia.com/">La nuit Démonia</a>, <a href="http://www.nuitelastique.com/">La Nuit élastique</a>... pour ne citer qu'eux. Les dominatrices y sont chouchoutées par des soumis qui ne pensent qu’à leur faire plaisir! <br>Un mot aussi sur les soirées inclassables, ludiques et sensuelles, comme les <a href="http://www.kinkysalon.fr/">Soirées Kinky Salon</a> ou <a href="http://www.erosticratie.fr/">Diagonale</a>. <br></p><h3>Un régal en toute liberté</h3><p>Pour commencer et vous initier en douceur, je vous recommande sans hésiter <a href="https://www.divinealcove.com/">Divine Alcôve</a>, un restaurant dédié aux libertins. C’est l’occasion de rencontrer d’autres libertins, de discuter des sujets qui nous intéressent en toute liberté, d’échanger des bonnes adresses… et plus si affinités! La conversation est générale, nous parlons et rions sans craindre de choquer l’entourage. Cerise sur le gâteau, le menu est un régal! La première fois que j’y suis allée, mes voisines de table m’ont entraînée autour de la barre de pole dance, et nous avons dansé sans nous soucier du regard de nos cavaliers. Ils ont même failli être oubliés… <br></p><p></p><hr><p></p><h2><strong>Quelques liens pour trouver sa tenue<br></strong></h2><p>• La boutique <a href="http://www.metamorphose.fr/">Métamorph’Ose</a>, pour choisir nos tenues libertines et <em>fetish</em>. </p><p>• La boutique <a href="https://www.demonia.com/">Démonia</a> où nous trouvons tout ce dont nous avons besoin pour les soirées bdsm et <em>fetish</em>. </p> <p>Difficile de choisir parmi tous <strong>les blogs libertins</strong>! Mais puisqu’il faut choisir: </p><p>• <a href="http://www.parisderriere.fr/">Paris Derrière</a> </p><p>• <a href="http://evedecandaulie.fr/">Eve de Candaulie</a></p><p>• <a href="http://www.vapeursdalcove.fr/">Vapeurs d’alcôve</a> </p><p>• <a href="http://missdactari-blog.blogspot.fr/">Miss Dactari</a> </p><p></p><hr><p></p><h2><strong>Mesdames, quelques conseils pour votre première fois en club<br></strong></h2><p>• Si vous y allez avec votre conjoint, bien discuter avant de attentes respectives, vos limites, ce que vous vous autorisez, pour éviter de vous faire de la peine inutilement. <br>• Dans l’idéal, il faudrait pouvoir bannir tout sentiment de jalousie. Envisager le club comme une «bulle», un monde clos dédié aux plaisirs. Ce qui s’y déroule ne compte pas, n’aura aucune conséquence sur votre couple. <br>• Vérifier sur le site du club que vous avez choisi le <em>dress code</em> exigé (en général, une robe sexy pour les femmes, pas de baskets ni de jeans pour les hommes). S’assurer aussi qu’il s’agit bien d’une soirée réservée aux couples, car les soirées avec des hommes seuls, ce n’est peut-être pas une bonne idée pour débuter! Dans un second temps, par contre… <br>• Aller à votre rythme. La première fois, vous pouvez vous contenter de «regarder». Finalement, vous vous laisserez peut-être prendre par l’ambiance, et vous déraperez qui sait… <br>• Ne faire que ce qui vous plaît, ne vous obliger à rien, seul le plaisir doit vous guider. Même si vous avez accepté une caresse, vous pouvez l’arrêter à tout moment, un libertin s’inclinera avec grâce et respectera votre choix sans demander d’explication. <br>• Ne pas hésiter à repousser les libertins aguerris qui vous abordent un peu trop vite ou trop directement. Ils n’ont peut-être pas détecté une débutante. Dire que c’est votre première fois, ils comprendront, et se souviendront de leur propre expérience! <br>• Ne pas s’étonner d’être approchée par une fille, c’est souvent par les filles que les échanges commencent, en douceur. <br>• Laisser de côté votre pudeur naturelle, vos complexes, votre timidité. 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bloggeuse érotique, Clarissa Rivière a été inspirée par l’exposition Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre de Paris. 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