Culture / Ce que cachent les masques que nous portons
«Le territoire des monstres», Margaret Millar, Editions du Masque, 288 pages.
Ecrit en 1970, le roman de Margaret Millar a été traduit deux ans plus tard par Jean-Patrick Manchette, ce qui est une bonne raison de le lire. Aujourd’hui, les Editions du Masque republient ce très bon récit, avec une traduction «révisée». Qu’est-ce qu’une traduction «révisée»? Je n’en sais rien, mais cela donne l’occasion au Territoire des monstres de ressurgir dans les rayons des librairies, et c’est tant mieux. Margaret Millar ne fait jamais la morale dans ce livre où elle aborde pourtant la position des femmes et des travailleurs immigrés aux Etats-Unis à la fin des années 1960, ainsi que le structurel déni de réalité qui permet à la bourgeoisie de croire que son monde est le meilleur des mondes possibles. Cette absence de pose moralisatrice a dû beaucoup plaire à Manchette. L’histoire se passe en 1968, en Californie. Le mari de Devon Osborne, un propriétaire terrien, a disparu depuis un an et son épouse souhaite que le tribunal le déclare finalement décédé. Les faits sont donc examinés par un juge. Le soir de la disparition de Robert Osborne, une bagarre a eu lieu dans le baraquement des travailleurs mexicains chargés de récolter les tomates ou les dattes. Il y a beaucoup de sang sur le plancher, quelques indices ici et là, mais pas de corps. Les ouvriers se sont eux aussi volatilisés. Au fur et à mesure que le juge interroge la mère du disparu, son contremaître mexicain ou encore le policier chargé de l’enquête, on s’aperçoit que la vérité est une illusion si on la souhaite commune, qu’elle est plutôt une construction arrangeante que chacun établit selon ses besoins. Lorsque ce qui s’est réellement passé apparaît, les masques tombent, les illusions s’évanouissent. Chacune et chacun est face à lui-même mais personne n’est jugé par l'auteure.
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Et eux, quels rapports entretiennent-ils avec vous? Personnellement, tout à la fois je m’en méfie et tout à la fois je leur demande, pour l’essentiel, de me rassurer. Le livre de Vikenti Veressaïev (1867-1945) a paru en 1900 en Russie où il a provoqué beaucoup d’émois. En le lisant, on comprend pourquoi. Il ne s’agit pas d’un roman mais du récit des études de médecine de l’auteur et de sa découverte des pratiques médicales de ses confrères. C’est plutôt effrayant. Il y a d’abord l’arrogance de la plupart des médecins, imbus d’eux-mêmes et de leur savoir alors même qu’ils tâtonnent souvent et prodiguent à leurs malades des soins pas toujours appropriés. Les pauvres gens, bien sûr, sont souvent victimes d’expériences atroces – comme se faire inoculer la syphilis de manière expérimentale –, les animaux aussi. Cela se passe en 1900, me direz-vous, aujourd’hui tout va mieux. Sans doute, mais sur qui, actuellement, teste-t-on cliniquement les médicaments et les nouvelles techniques? 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