Actuel / Paroles d'enfants et mots d'ados
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2022… la crise qui nous défrise, les attentats, les pandémies, les élections françaises, et tout le tralala. Nous sommes dans l’ère du tout connecté, mais «connecté» à quoi? Certainement pas au vrai. Les rencontres se font uniquement virtuellement, les apéros en visio, les débats stériles n’ont de cesse de polluer nos réseaux sociaux, les disputes se font par écrans interposés, plus personne ne prend le temps de se voir ou de s’appeler.
J’ai décidé de lever les yeux de mon clavier, de me déconnecter du faux pour me reconnecter au vrai. Je vais donc à la rencontre d’enfants et d’adolescents, à l’ancienne, je me déplace chez eux, dans leur environnement. Je leur pose des questions: comment perçoivent-ils le monde qui les entoure? Que pensent-ils de l’amour, de l’amitié, de la famille recomposée ou non? Aiment-ils lire ou préfèrent-ils regarder la télé? A quoi jouent-ils? De quoi parlent-ils? Ont-ils des peurs? Quel est leur plus merveilleux souvenir? etc.
Je les écoute attentivement, sans les couper. Avec leurs mots, avec leurs pensées pas encore formatées par le système, ils se livrent à cœur ouvert.
Touchants, attachants, drôles, francs, avec une imagination débordante, rien de tel pour mettre du baume au cœur. Aller à leur rencontre m’apporte beaucoup de joie et de bonheur, et cette joie et ce bonheur, j’ai décidé de les partager avec vous.
Nono, 10 ans
Il est grand pour son âge, ses cheveux sont châtain clair. Il est souriant, le regard malicieux. Il s’installe en face de moi. Il se dandine un peu sur sa chaise. Il n’a pas hésité une seule seconde à répondre à mes questions. Il trouve l’idée de l’interview «chouette». «On commence par quoi?», me demande-t-il. Dehors, le printemps pointe enfin le bout de son nez. On est fin avril 2022, à la campagne, dans un petit village de France. Il se présente simplement. «Bonjour je m’appelle Nono, j’ai dix ans et euh…voilà…».
Sur les années 70, 80, 90
Lorsque je l’interroge sur les années 70, 80 et 90, il me sourit, il pince ses lèvres, hausse les épaules. «C’est complètement un autre style, que ce soit musiques, films, livres ou styles vestimentaires. Et si on remonte encore plus loin, j’ai l’impression que les gens vivent en noir et blanc». Il parle des jeans à «bouche de canard», au lieu de pattes d’éléphant. Pour lui, les enfants des années 70, 80, 90, étaient livrés à eux-mêmes, plus débrouillards, avec des parents qui n’avaient même pas la possibilité de les joindre. Les téléphones portables n’existaient pas, les parents faisaient confiance à l’enfant. «Les enfants étaient beaucoup plus dehors en train de jouer vraiment loin, et tout. Ils se géraient tous seuls. Ils étaient très matures, comme je vous l’ai dit.»
Sur l'avenir
Lorsque je lui parle du futur, il soupire, lève les yeux au ciel comme pour chercher la réponse au plafond. Pour lui, le futur sera à la fois bien, mais aussi catastrophique. Catastrophique à cause de la technologie. «Il peut tout arriver dans le futur. Moi le futur, c’est la technologie. Elle est déjà énormément avancée».
Il voudrait que la «modernité» se partage dans le monde entier. Chacun sa part, pour éviter les conflits, les guerres, les jalousies. Il ne faut pas que les choses négatives l’emportent sur les choses positives. Mais l’homme est ainsi fait, tantôt bon, tantôt mauvais. «Il faut garder le côté positif. (…) je ne sais vraiment pas si c’est possible ou pas. J’espère que ça va être possible, tu vois. Après j’sais pas. Je n’lis pas dans l’avenir alors je ne peux pas savoir s’il va y avoir quelque chose de catastrophique.»
Comment se sent-il dans la journée? Il ne s’est jamais posé la question. Il réfléchit. Et il me raconte qu’il lui arrive d’être énervé. Il s’énerve un peu lorsque maman ne veut pas lui acheter un manga, ou lorsqu’il ne peut pas regarder un film qui lui tient à cœur. Mais dans l’ensemble il est heureux. «J’suis toujours content de vivre. Je n’ai jamais trop d’énervement dans ma journée. J’suis normal.»
Sur ce qu'il préfère dans la vie
Il aime à peu près tout dans sa vie. C’est un jeune garçon heureux, avec une famille aimante. «Chaque jour c’est un peu plus sympa. Ce que je préfère dans la vie: les soirées en famille».
Il me regarde, ses deux mains l’une dans l’autre posées sur les genoux, il sourit tout le temps. Ses yeux sont pétillants de vie. Lorsqu’il est seul, il réfléchit, il pense à la vie, il gère ses «problèmes». «J’aime bien être seul, me faire mes propres idées. Quand je suis seul, je pense beaucoup, et lorsque j’ai des trucs à régler, dans ces temps-là je les règle. Ce n’est pas si compliqué que ça, je trouve toujours une solution aux problèmes, mais il y a des problèmes où il n’y a tout simplement pas de solutions». Il y a des problèmes qui n’ont pas de solutions, comme «casser un verre», il rigole. «A part dire "pardon", on ne peut rien faire, il n’y a pas de solution, quand on casse un verre, on ne peut pas le réparer totalement à part avec de la super glue». Et puis il y a les problèmes qu’il décide d’ignorer. «J’y mets à plus tard, mais c’est des problèmes qui ne nécessitent pas de s’en soucier.»
Sur la lecture
Nono aime lire, il aime les romans fantastiques, les «vieux livres», mais il ne faut pas qu’ils soient trop gros, ni avec de grandes suites. Il dit qu’il est difficile. «L’Ile au trésor, j’ai beaucoup aimé. Y'a L’Alchimiste, ce n’est pas vraiment un livre culte, mais de nos temps il n’y a pas beaucoup d’enfants qui l’ont lu. J’ai lu plein de vieux livres. Jules Verne, par exemple, j’ai commencé à lire l’Ile mystérieuse, mais après j’ai vu que c’était vraiment gros et que les écritures étaient vraiment petites, alors je me suis dit que je vais attendre quelques temps.»
Nono n’aime pas les bd, mais il dévore les mangas «le manga c’est dans un autre univers, les bd c’est américain comme la plupart des livres, et pour moi, c’est tout le temps la même chose…le manga, ça change, c’est japonais, c’est une autre culture.» Il raconte L’Alchimiste, son livre préféré. «Dans ce livre, il n’y a rien de fantastique, rien de spécial. C’est juste un livre qui raconte l’histoire d’un jeune garçon et je trouve ça super de voir ce qu’il s’est passé dans son histoire.»
Il aime aussi Les gardiens de la cité perdue qu’il a terminé il y a quelques jours. «Ça parle d’une jeune fille qui est humaine et après elle découvre qu’elle est une elfe… c’est un autre monde. Dans ce livre ils disent que les humains sont séparés des elfes, et qu’ils ont créé des territoires. C’était il y a très longtemps, et peut-être que les humains ont gardé le secret.» Pour lui, les elfes existent, il a une imagination débordante.
Sur la télévision
Nono ne regarde pas les chaînes télé, car même si ses parents ont une télé, ils n’ont pas pris d’abonnement aux chaînes. Alors il regarde Netflix, des dessins animés, des séries. Il aime les Marvel, les films d’animations Pixar. Mais il regarde aussi des films avec des «vrais acteurs», des films qui ne sont pas de son âge, mais il n’a pas peur. «Je n’ai pas peur du sang, c’est quelque chose de naturel, dans tous les cas c’est du colorant».
Sur l'amour
En ce qui concerne l’amour, il ne sent pas tellement concerné. «L’amour, je m’en fiche un peu, je suis célibataire depuis pas mal de temps. Ça ne m’a jamais vraiment intéressé».
Par contre l’amour des proches est quelque chose d’essentiel pour lui, de porteur, de naturel. C’est normal d’aimer sa famille. «Les personnes proches je les aime. Les parents t’ont éduqué, ils sont toujours avec toi, du coup, la chose que tu peux faire, c’est de leur donner de l’amour. Ça vient naturellement cet amour-là. Dès ton plus âge, ils se sont amusés avec toi, ils t’ont taquiné, donc l’amour il vient tout seul au final».
Sur l'école
Nono n’a pas fait de très grosses bêtises, mais une succession de petites bêtises… «A l’école, j’ai toujours travaillé, mais je parlais beaucoup». Il assume toutes ses bêtises.
En parlant de l’école, il aime ça, car il apprend plein de choses et qu’il se fait des copains. Mais il trouve que les professeurs ne soutiennent pas suffisamment les élèves. «Ce qui va faire le bon professeur, c’est la manière dont il va t’apprendre les choses.» Puis il voudrait que les professeurs répondent à toutes les questions des élèves, même si parfois ça déborde un peu du cours. «Parfois, ils ne répondent pas à toutes mes questions. Mais je n’ai pas eu de très mauvais professeurs. Après je ne demande pas des professeurs en or.»
J’ai passé un excellent moment avec Nono, et je compte bien passer d’autres très bons moments avec d’autres enfants et adolescents. J’espère que cet entretien vous aura plus autant qu’il m’a plu… Ecouter les enfants, les regarder jouer, les entendre rire, rien de tel pour apporter un peu d’espoir dans cette société qui parfois nous donne le bourdon.
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Il dit qu’il est difficile. «<em>L’Ile au trésor</em>, j’ai beaucoup aimé. Y'a <em>L’Alchimiste</em>, ce n’est pas vraiment un livre culte, mais de nos temps il n’y a pas beaucoup d’enfants qui l’ont lu. J’ai lu plein de vieux livres. Jules Verne, par exemple, j’ai commencé à lire l’<em>Ile mystérieuse</em>, mais après j’ai vu que c’était vraiment gros et que les écritures étaient vraiment petites, alors je me suis dit que je vais attendre quelques temps.»</p> <p>Nono n’aime pas les bd, mais il dévore les mangas «le manga c’est dans un autre univers, les bd c’est américain comme la plupart des livres, et pour moi, c’est tout le temps la même chose…le manga, ça change, c’est japonais, c’est une autre culture.» Il raconte <em>L’Alchimiste</em>, son livre préféré. «Dans ce livre, il n’y a rien de fantastique, rien de spécial. C’est juste un livre qui raconte l’histoire d’un jeune garçon et je trouve ça super de voir ce qu’il s’est passé dans son histoire.»</p> <p>Il aime aussi <em>Les gardiens de la cité perdue</em> qu’il a terminé il y a quelques jours. «Ça parle d’une jeune fille qui est humaine et après elle découvre qu’elle est une elfe… c’est un autre monde. Dans ce livre ils disent que les humains sont séparés des elfes, et qu’ils ont créé des territoires. C’était il y a très longtemps, et peut-être que les humains ont gardé le secret.» Pour lui, les elfes existent, il a une imagination débordante.</p> <h4>Sur la télévision</h4> <p>Nono ne regarde pas les chaînes télé, car même si ses parents ont une télé, ils n’ont pas pris d’abonnement aux chaînes. Alors il regarde Netflix, des dessins animés, des séries. Il aime les Marvel, les films d’animations Pixar. Mais il regarde aussi des films avec des «vrais acteurs», des films qui ne sont pas de son âge, mais il n’a pas peur. «Je n’ai pas peur du sang, c’est quelque chose de naturel, dans tous les cas c’est du colorant». </p> <h4>Sur l'amour</h4> <p>En ce qui concerne l’amour, il ne sent pas tellement concerné. «L’amour, je m’en fiche un peu, je suis célibataire depuis pas mal de temps. Ça ne m’a jamais vraiment intéressé». </p> <p>Par contre l’amour des proches est quelque chose d’essentiel pour lui, de porteur, de naturel. C’est normal d’aimer sa famille. «Les personnes proches je les aime. Les parents t’ont éduqué, ils sont toujours avec toi, du coup, la chose que tu peux faire, c’est de leur donner de l’amour. Ça vient naturellement cet amour-là. Dès ton plus âge, ils se sont amusés avec toi, ils t’ont taquiné, donc l’amour il vient tout seul au final». </p> <h4>Sur l'école</h4> <p>Nono n’a pas fait de très grosses bêtises, mais une succession de petites bêtises… «A l’école, j’ai toujours travaillé, mais je parlais beaucoup». Il assume toutes ses bêtises. </p> <p>En parlant de l’école, il aime ça, car il apprend plein de choses et qu’il se fait des copains. Mais il trouve que les professeurs ne soutiennent pas suffisamment les élèves. «Ce qui va faire le bon professeur, c’est la manière dont il va t’apprendre les choses.» Puis il voudrait que les professeurs répondent à toutes les questions des élèves, même si parfois ça déborde un peu du cours. «Parfois, ils ne répondent pas à toutes mes questions. Mais je n’ai pas eu de très mauvais professeurs. Après je ne demande pas des professeurs en or.»</p> <hr /> <p><em>J’ai passé un excellent moment avec Nono, et je compte bien passer d’autres très bons moments avec d’autres enfants et adolescents. 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Je me «soignais» avec du Doliprane et des grogs.</p> <p>Le médecin est venu chez moi à 20 heures 30 pétantes, je vous parle d’un temps où les médecins avaient encore la capacité de se déplacer chez leurs patients. </p> <p>J’ai eu droit à quelques remontrances de la part de mon médecin, il m’a dit que la maladie prise plus tôt, je n’aurais pas tant galéré… il m’a donné un traitement à base d’antibiotiques, et au bout de deux jours, j’étais complètement guérie, mais avec quelques séquelles. </p> <p>Pendant quelques années j’ai été victimes de bronchites à répétition… c’est de ma faute, je n’avais qu’à appeler le médecin avant…</p> <p>Pourquoi je vous raconte ça? </p> <p>Tout simplement parce qu’en 2021, on m’aurait étiquetée «covid long», et j’aurais gonflé les statistiques.</p> <p>Tout simplement parce qu’en 2021, les médecins n’ont plus la capacité de soigner leurs patients. Ils sont muselés, et sont obligés de suivre les directives du «ministre de la santé». </p> <p>Tout simplement parce qu’en 2021, les gens malades ne sont plus soignés. De ce fait, les plus fragiles arrivant au point de non-retour, lorsque, ne pouvant plus respirer, doivent se rendre aux urgences, meurent… ils ne meurent pas à cause de la maladie…Ils meurent, faute de soins, faute de traitements… si les malades avaient reçu le traitement adéquat, au bon moment, certainement, seraient-ils encore là aujourd’hui.</p> <p>Tout simplement parce qu’en 2021, les autorités assument d’avoir rendu légale la non-assistance à personne en danger.</p> <p>Petit flash-back…</p> <p>En 2020, plus de 5'700 lits d’hospitalisation, en France, ont été fermés <i>(Le Monde)</i>.«Entre 2003 et 2018, le nombre de lits d’hospitalisation à temps complet installés, tous établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus, est passé de 468 000 à 396 000». <i>(drees.solidarité-sante.gouv.fr).</i></p> <p>Et ça ferme, deci, delà, et ensuite le pays ne peut plus gérer les épidémies et décide de reporter la faute sur la population…</p> <p>Depuis des années, les hôpitaux sont surchargés, à cause de diverses épidémies.</p> <p>Avant l’arrivée du covid, on parlait de «grippe dangereuse» <i>(08/01/2017 – solidarite-santé.gouv.fr) </i></p> <ul> <li>En 2015, France info intitulait un article «cette épidémie de grippe est plus importante que ces cinq dernières années», grippe saisonnière qui touchait plus de 2,5 millions de personnes depuis le début de l’hiver. </li> <li>Le 20/03/2013; <em>Le Figaro Santé</em> titrait «Durée record pour l’épidémie de grippe» en développant que «cela fait déjà 13 semaines que le virus circule à haute fréquence parmi la population française, faisant 3,5 millions de malades». </li> <li>Le 28/11/2001, <em>Les Echos</em> titrait «L’Europe reste sous la menace d’une pandémie majeure de grippe»</li> </ul> <p>Etc. etc. je mets de côté les épidémies de gastro et la grippe aviaire. </p> <p>Depuis l’arrivée de notre Covid, je n’ai pas entendu parler de la grippe… comme si cette dernière avait complètement disparu des radars. Mais les lits d’hôpitaux, eux, continuent de fermer.</p> <p>Bloquez donc deux voies de circulation sur l’autoroute, laissez seulement les automobilistes rouler sur la voie des véhicules lents, et dites-moi, si très rapidement, il n’y aura pas un bouchon phénoménal...</p> <p>Aujourd’hui, comme hier, je remets tout en question. Même si, entre nous, la réflexion et la pensée ne sont plus à la mode.</p> <p>Ce qui me tarabuste c’est la docilité du peuple français. Je n’aurais jamais pensé qu’on se laisse aussi facilement endoctriner, embobiner, endormir…</p> <p>Ça fait des années que les «Grands» nous endorment. Les «Grands» savent qu’un peuple «bête» ou «endormi» est plus facilement manipulable. De ce fait, les «Grands» dirigeants ont mis en place mille stratagèmes pour endormir le peuple, ou plutôt devrais-je dire «l’abêtir»…</p> <p>Comment abêtir un peuple? </p> <p><em>Panem et circenses</em>. Rien de plus simple.</p> <p>Le peuple consomme. Le peuple se divertit. Le peuple se marre en s’asseyant sur un coussin péteur. Le peuple se gave de télé-réalité. Le peuple ne veut pas faire de comparaisons entre aujourd’hui et l’époque d’Hitler, car on a dit au peuple, que ces comparaisons-là, n’étaient pas à faire, car parler de dictature, d’Hitler c’est tabou…mais où est donc la liberté d’expression? Dans notre cul, c’est certains.</p> <p>Triste constatation, beaucoup de gamins ne rêvent plus de devenir médecins, pompiers, professeurs, non, ils rêvent d’être stars de la télé-réalité, youtubeurs ou influenceurs. Faut vivre avec son temps… A quoi bon user ses fonds de culotte sur les bancs des écoles, alors qu’avec une connexion internet, un ordi ou son téléphone, un compte Insta, Tiktok, Youtube, quelques gags, un tuto make-up, un challenge débile, le tour est joué… Bref, la bêtise aujourd’hui fait gagner de l’argent.</p> <p>On devient de plus en plus cons, et nos gosses les premiers… tu m’étonnes John! </p> <p>Une enquête du Centre National d’Études des Systèmes Scolaires (CNESCO) témoigne d’une baisse non négligeable du niveau de français des élèves de primaires et des écoles supérieures. Si encore il n’y avait que le français. Ça vous étonne? Pas moi. </p> <p>Le certificat d’étude que ma mère a obtenu dans les années 60, doit, sans nul doute, être l’équivalent aujourd’hui, d’une troisième année de licence, j’ironise…si peu. </p> <p>La crise qui nous défrise n’a pas fait évoluer le cerveau de nos rejetons, ni leur bien-être, au contraire. </p> <p>Le nombre record d’hospitalisations en pédopsy, et les alertes sérieuses sur les retards d’apprentissages se multiplient. Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, lors de son intervention sur Sud Radio en décembre 2021, disait et je cite «plus de 25 % des admissions en pédiatrie sont de la pédopsychiatrie. Les psy libéraux sont submergés par les troubles anxieux, les tocs, les difficultés d’apprentissage des enfants, liés directement à ce qui se passe dans les écoles.».</p> <p>Ajoutons une deuxième information importante. Une récente étude américaine affirme que les enfants nés pendant la pandémie, auraient des performances motrices, verbales et cognitives plus faibles que ceux nés avant la pandémie (<i>Parents.fr le 15/08/2021</i>)</p> <p>Et enfin, notons un dernier point, pour conclure avec cette partie, la crise a accentué les dépressions, et les suicides. Le suicide est la seconde cause de mortalité chez les jeunes…les jeunes sont au bout du rouleau et pour cause. Ils ne peuvent plus sortir comme leurs parents ont pu le faire pendant leurs jeunes années, ils ne peuvent plus se retrouver, s’enlacer, s’embrasser, se réunir, comme leurs parents ont pu le faire dans leurs jeunes années. Et enfin, ces pauvres gosses sont contraints, bien souvent, de se taper les actualités mensongères du journal télévisé, (le journal de la vérité pour certains), pendant le repas du soir, près de leurs parents hypnotisés par les informations anxiogènes…</p> <p>Cependant, j’espère que les parents lutteront pour protéger leurs gosses et ne porteront pas leurs enfants aux centres de vaccination comme on porte les bovins à l’abattoir.</p> <p>Parlons maintenant culture, littérature et nourriture de l’esprit. </p> <p>Hier, l’Elysée mettait en avant la culture et la littérature, aujourd’hui, Manu invite des youtubeurs et s’amuse à leur lancer des défis. Marlène, quant à elle, pendant que le peuple est muselé et contraint de respecter les distances de sécurité, chante et danse avec une poignée d’influenceuses… faut vivre avec son temps, me direz-vous…</p> <p>En ce qui concerne Manu et les youtubeurs, le but est simple, toucher le plus grand nombre de jeunes et les pousser à respecter les gestes barrières, ou plutôt, la restriction des libertés… «why not» comme disent les «djeuns».</p> <p>En ce qui concerne «Oh Marlène, les cœurs saignent», cette dernière a invité à sa «table» avec l’argent du contribuable, ces quelques demoiselles, jeunes, fraiches, pimpantes, extravagante, dandines, ingénues, les synonymes ne manquent pas… Ensemble, elles ont pu «discuter» des maltraitances envers les femmes, portable à la main, en direct sur tous les canaux virtuels. Pour «Magali», agent de personnalité de télé-réalité (difficile de le dire très vite…), une façon efficace d’essayer de nettoyer la mauvaise image que peut avoir ladite télé-réalité (viol, racket, violence envers les femmes) … et pour Marlène, une façon d’augmenter son nombre de followers et de toucher le max de jeunes possible… mais ça n’a pas fonctionné. </p> <p>«L’ultra masculinité» des candidats transpire visiblement en dehors de l’écran, entachant les esprits de notre jeunesse en proie au Metaverse.</p> <p>Mais jusqu’ici…Tout va bien…</p> <p>La dissonance cognitive, autrefois source de tensions, devient le concept rassurant car validé par le programme…euh…non…la «vision» présidentielle. </p> <p>Les politiciens, hier, se débattaient sur les chaînes publiques pour mettre en avant leur programme présidentiel (ils en avaient un à l’époque). Ils partaient en campagne, essayaient de se démarquer, que le meilleur gagne.</p> <p>Aujourd’hui, les politiciens se <i>clashent</i> sur les réseaux sociaux, font appel à des youtubeurs afin d’être mis en avant sur leurs chaînes et leurs réseaux sociaux, font de courtes vidéos sur tiktok, histoire d’être «cool», et invitent des influenceurs au Palais. La communication ne passe plus par la télévision, elle passe par les réseaux sociaux… Les politiciens ne mettent plus en avant un programme pour «guider» la France vers des jours meilleurs… Non, ça sert à rien, ils s’en branlent de tout ça les politiciens. Rappelons-nous, en décembre 2016, ce que disait Emmanuel Macron, alors candidat aux présidentielles, sur RTL «<i>Pardon de vous le dire, un programme avec 300 mesures, ça n’a aucun sens, (…) on se fout des programmes, ce qui importe c’est la vision</i>»</p> <p>Mais quel est donc l’intérêt des «Grands» à abrutir ainsi le peuple? </p> <p>Revenons deux minutes sur la «maladie-de-la-mort-qui-tue»…</p> <p>Je me suis demandé pourquoi tant de monde autour de moi, cédait sans se battre et sans voir que nos libertés petit à petit était supprimées.</p> <p>La servitude du peuple ne date pas d’hier. </p> <p>Le peuple, craignant de perdre ce qu’il a toujours connu, à savoir consommation à outrance, distraction, pains et jeux, est prêt à tout, même à ramper, les genoux en lambeaux, même à vendre les siens, même à se faire injecter je ne sais quel produit dans les veines, tout ça sans même prendre le temps de réfléchir et encore moins de se rebeller… </p> <p>Depuis le début de la mise en place du passe, j’ai refusé de me soumettre, et j’ai été surprise, lorsque j’ai refusé plusieurs invitations à des soirées, d’entendre comme argument face à mon refus «il faut bien vivre… viens… ça ne coûte rien, un test ou une piqûre», mais je vis très bien… </p> <p>Pour moi la liberté et la vie ne sont pas synonymes d’esclavagisme, de lois liberticides, et il est hors de question que je me soumette à ce système qui me débecte. Je ne me vois pas du tout exhiber fièrement un passe de la honte pour aller boire un café, aller au resto, dans un parc d’attraction, applaudir Obispo en concert… ou autre.</p> <p>Hors de question! Que chacun fasse ce qu’il lui plait, plait, plait, mais sans obligation…et surtout qu’ils me foutent la paix…</p> <p>L’intérêt là-dedans?</p> <p>Les «Grands» éduquent et surtout effraient le peuple, une façon de bien le maintenir sous leur emprise … A force d’infantiliser les gens, ils ont réussi à en faire ce qu’ils veulent. </p> <p>Du coup, lorsque les Grands menacent les «citoyens» de leur supprimer leurs divertissements, leurs distractions, voire même leur boulot, au lieu de se rebeller et de dire non, les gens baissent la tête, tendent le bras, et se soumettent, tels des enfants à qui l’on promet de lui sucrer sa console s’il ne mange pas sa soupe.</p> <p>J’ai remarqué également, que plus la ville est grande, plus l’abrutissement est présent. Dans les campagnes les gens sont bien plus éveillés, certainement parce qu’il y a moins de moyens de pression et de chantage. Dans nos campagnes on n’a pas de théâtre, de ni grands cinés, ni de bar branchés, non, M’sieurs Dames, nous, on est «hâchement» plus civilisés, dans nos campagnes…car nous, on sait prendre soin de notre prochain, on l’écoute, on veille sur lui et aussi parce qu’on a la chance d’avoir Marcel le bistrotier, qui s’en tamponne le coquillard du chantage gouvernemental, et qu’on peut toujours aller chez lui, s’en jeter un derrière la cravate… </p> <p>Bref, l’intérêt des «tyrans» à abrutir le peuple, c’est pour mieux le contrôler. Divisier pour mieux régner!</p> <p>Le peuple victime de manipulation mentale, psychologique, aveuglé par la peur, les chantages en puissance, ne parvient plus à penser. La tête lourde, le cerveau pollué d’informations anxiogènes est complètement désorienté. Ne sachant plus aller, ne sachant plus à qui faire confiance, le peuple ne sait plus ni où il doit aller… ni ce qu’il doit faire, alors il fait n’importe quoi. </p> <p>Quels sont les outils à la portée des «Grands»? </p> <p>Les médias de propagande… </p> <p>Certains doivent maintenant être convaincus que je suis «complotiste»… soit… j’aime bien ce mot «complotiste», je m’y suis faite. Certainement en résistance à cette dictature du doute… </p> <p>Parenthèse, en parlant complotisme … j’ai remarqué que ce mot est lâché, en général, lors d’une conversation plus souvent virtuelle que réelle, et sur quelques plateaux télé, par des gens en panne d’inspiration et d’arguments contraires. J’ai pu remarquer que celui qu’on nomme «complotiste», c’est celui qui pense différemment, qui se pose des questions, qui cherche, et qui ne veut pas se soumettre à un système qui ne lui correspond en rien. En somme, un être pensant et à la recherche du bonheur par la vérité. Nous devrions tous être «complotistes», sur la base de cette définition. Fin de la parenthèse.</p> <p>Je me suis égarée.</p> <p> Revenons aux médias…</p> <p>Les médias français, de ceux que je nommerai «mainstream», sont complices de cette manipulation de masse…et pour cause, ils sont tous sous le joug du «mange peuple». Payés grassement par les «grands», ils ont le devoir de propagande, et d’enfermer le peuple dans une capsule de peur. </p> <p>Les journalistes relayent les dépêches de l’AFP sans prendre le temps de s’informer correctement. </p> <p>Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais les titres de tous les journaux sont les mêmes, il devrait y en avoir qu’un seul, qui se nommerait «La Vérité, seulement la Vérité, un peu arrangée, mais la vérité quand même, si, si, c’est vrai», un peu long comme titre, mais il faut bien ça, car les gens, de toute façon, ne lisent que les GROS titres. Lire les articles en entier? Mais pourquoi faire? Ils ont d’autres choses à faire, les gens, il faut qu’ils aillent exhiber leur passe de la honte au bistro du coin pour boire un kawa, ou regarder, le cul posé sur le canapé, les dernières actualités des aventuriers menteurs et tricheurs de Koh-lanta.</p> <p>Les médias décrédibilisent les manifestants en quête de liberté, ils décrédibilisent les médecins, professeurs, scientifiques qui vont à l’encontre de la pensée unique. Entre nous, je ne vois pas pourquoi ils seraient moins crédibles que ceux invités sur les plateaux télé, certainement parce qu’ils n’ont aucun conflit d’intérêt. </p> <p>Bref, rappelons donc qu’en 2020 les médias français ont reçu 666 millions d’aides de l’état, ils sont drôles les gouvernants. </p> <p><em>Le Monde</em> a reçu en 2019, 1,9 millions d’euros de la part de la fondation Gates, il est gentil ce Bill… Comment ne pas s’apercevoir que l’argent injecté permet le contrôle? </p> <p>Même mes parents dans leur inconditionnelle bienveillance, quand ils me donnaient de l’argent de poche, attendaient de moi que je sois serviable en retour, tout cela pour mon bien, évidemment…</p> <p>Terminons sur un dernier point, et pas des moindres… la liberté… </p> <p>La liberté «écrite» sur tous supports réels ou imaginaires par Paul Eluard, </p> <p>La Liberté hurlait par Louise Michel, ou encore </p> <p>La Liberté que chantait Georges Moustaki… (et j’en passe) </p> <p>Pour ceux qui y ont vraiment goûté et qui savent réellement ce que c’est, je sais aujourd’hui qu’ils ne baisseront jamais les bras, et qu’ils continueront à se battre jusqu’au bout pour la préserver ou plutôt la reconquérir.</p> <p>La liberté, ce n’est pas céder à un chantage malsain en se faisant injecter n’importe quoi dans les veines, (injection contre le droit d’aller se divertir, ou travailler) quand on voit, en plus le résultat…</p> <p>J’ai dans la tête le «et un, et deux, et trois, zéro» que certains hurlaient en 1998… et c’est pas fini, ils annoncent «et cinq, et six, et trois à vie»… car si nous continuons à tout accepter, que vont-ils nous imposer demain? Y avons-nous seulement pensé une seule seconde? </p> <p>Liberté, liberté chérie…</p> <p>La liberté commence là où l’ignorance finit… écrivait Victor Hugo. </p> <p>Malheureusement, pour certains, le prix de la liberté c’est l’esclavagisme, c’est se soumettre pour avoir une «sensation» de droit légitime, alors que tous les droits sont abolis au compte-goutte.</p> <p>2021… Retour de l’apartheid. Les «Grands» ont réussi à scinder la population en deux; ceux, qui s’étant soumis, ont «droit» à presque «tout», quand les autres, «citoyens de seconde zone», complotistes en puissance, doivent rester à résidence. Peu importe, grâce à ça, je cuisine encore mieux qu’avant. </p> <p>Les «Grands» ont réussi à faire en sorte que le peuple s’auto-cannibalise, tel l’élaphe qui, après avoir ingéré la moitié de son corps, meurt étouffé. Cette fin atroce arrivera-t-elle au «peuple»? </p> <p>Donc, voilà où nous en sommes à force de céder à leur chantage. </p> <p>Quelle limite se donnera le peuple? Quelles seront les bornes à ne pas franchir? A chacun d’y réfléchir…</p> <p>Entre nous, il suffirait, pourtant de pas grand-chose pour faire tomber les «grands». Je ne dis pas qu’il faille prendre les armes, je ne dis pas qu’il faille monter des barricades, je ne dis pas qu’il faut se mettre à hurler «aux armes citoyens», nos ancêtres s’en sont occupés. </p> <p>Notre bon «roi, Mange-Peuple» l’a dit «nous sommes en guerre», oui, mais pas une guerre contre une pandémie, il s’agit là d’une guerre supplémentaire pour soumettre le peuple et en faire ce qu’il veut. Lui et la majorité des autres dirigeants européens.</p> <p>Vous avez à cœur de protéger votre santé? Refusez de rendre légale la non-assistance à personne en danger.</p> <p>Nous sommes en guerre oui, mais pas une guerre avec pistolets, fusils, révolvers, chars, grenades, bombardiers, etc. Il s’agit d’une guerre psychologique, d’une guerre d’informations… De ce fait, jouons avec les moyens du bord.</p> <p>Pour affaiblir la tyrannie,</p> <ul> <li>Commençons donc par un acte très simple, coupons la télévision… du moins les actualités, car ça ne nous empêche pas de nous marrer devant un bon film style «Les bronzés font du ski», c’est la période… divertissons-nous, la tête pleine, ne nous divertissons pas pour la vider, mais bien pour un peu «décompresser»… </li> <li>Continuons par un acte, certes, un peu moins facile, refusons en bloc, toutes les restrictions de nos libertés, </li> <li>Que les restaurants et boites de nuits, théâtre et parcs d’attraction, bars et tous les lieux de distractions, ne contrôlent plus aucun passe sanitaire, et que gentiment, clients et patrons s’unissent pour expliquer «à la police de la pensée», <i>qui passe deux par deux</i> pour vérifier des QR code, qu’ils ne veulent pas d’eux. Ça a fonctionné en Savoie me semble-t-il.</li> <li>Il suffirait qu’on se mette d’accord sur des dates, et qu'ensemble sur une courte période, nous n’allions plus durant quelques jours, ni travailler, ni consommer... </li> <li>Il suffirait de retirer notre argent des banques, et comme nous n’avons plus le droit de disposer de notre compte en banque comme on le voudrait, il suffirait donc de retirer le maximum autorisé toutes les semaines. Pour ma part ça ira très vite… </li> </ul> <p>«Facile à dire», allez-vous me dire… je n’ai jamais dit que la reconquête de nos libertés serait simple…</p> <p>La solution, elle est dans l’union. </p> <p>En tout temps, les droits acquis l’ont été grâce à une poignée de résistants. </p> <p>J’ai foi en l’humanité. J’ai foi au peuple, J’ai foi en nous…</p> <p>Ensemble disons non à la tyrannie et en quelques jours, je le parie, tout sera enfin terminé. Alors non, nous ne retrouverons plus jamais le monde d’avant, et c’est tant mieux…le monde de demain sera composé de partisans éveillés… </p> <p>Allons peuple, réveillons-nous, étirons-nous, baillons un bon coup, LEVONS-NOUS et fonçons…</p> <hr /> <h4>Notes</h4> <h4><b><i>Pfizer </i></b><i>est une entreprise multirécidiviste. Une entreprise qui vous veut plus de mal que de bien. Pensez-y… </i><i>Condamnations: </i></h4> <h4><i>2006: amende de 60 millions de dollars pour la corruption de médecins et de représentants du gouvernement, afin d’accroître ses affaires et ses ventes, </i></h4> <h4><i>2007: le gouvernement nigérien porte plainte contre Pfizer l’accusant d’avoir provoqué en 1996 la mort de 11 enfants sur 200. Lors de tests de médicaments contre la méningite effectués en 1996.</i></h4> <h4><i>2009: amende de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines. 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VOS RÉACTIONS SUR LE SUJET
1 Commentaire
@Chriscriss 14.05.2022 | 07h50
«Excellente initiative, merci! Quelle sagesse déjà, chez ce jeune Nono… me réjouis de la suite! »